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enava massacre
19 février 2012

groupe enava

les artisans criminels de la faillite sont connus de tous les travailleurs qui malheureusement ne pouvaient rien faire  un groupe de cadres qui sont cadres que par le nom  operaient au niveau d etoutes les unites de l'enava de jijel a saida en passant par thenia et chlef quant a oran leur siege etait la une politique disuassive est instauré au niveau de toutes les unites les syndicats sont de la partie et toute personne voulant nuire aux interets et la politique du serail sera automatiquement eleminee

des projets qui n'ont jamais vus le jour des mises a niveau par milliards mais sans resultats jusqu'a la periode de politique  de privatisation tout a ete mis en oeuvre ces cadres detachés au niveau des unites pour vendre coute que coute car les devidendes de ces ventes sont tres interessantes  et tout le monde a l'eau a la bouche  enava oran cede a 100% au groupe st gobain  enava tebessa qui na jamis demarré cede a la banque qui l'a financé  saida et chlef ont connus des repreneurs qui se sont desistés et tout le long de cette operation de privatisation le mot d'ordre a ete donné laisser couler les unites pour quelles osient reprises malheureusement le constat est la et les decideurs sont retraite dorée ,logée et dorlotée par la vache laitiere enava qui agonise doucement 

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Z
L’usine Alver d’Oran cédée à l’américain Apollo<br /> <br /> <br /> <br /> A LA UNE<br /> <br /> ACTUALITÉ<br /> <br /> ÉCONOMIE<br /> <br /> <br /> <br /> 12.07.2015 12:05<br /> <br /> Les experts avaient, attiré l'attention des pouvoirs publics sur la modicité du montant de cession. Photo DR<br /> <br /> <br /> <br /> L’ancienne entreprise publique Alver, basée à Oran, qui faisait partie du groupe ENAVA spécialisé dans la fabrication de l’emballage en verre, vient de changer «discrètement» de main, passant de son premier acquéreur français Saint-Gobain, via la filiale Verallia, numéro trois mondial des emballages en verre, au groupe américain Apollo Global Management.<br /> <br /> <br /> <br /> Cette procédure est jugée pour le moins opaque, à la limite de l’irrégularité, au vu des conditionnalités ayant accompagné l’achat d’Alver par le groupe Saint-Gobain, dans le sillage des privatisations opérées par le département d’Abdelhamid Temmar, ancien ministre de l’Industrie et de la promotion des investissements. En effet, l’une des clauses figurant dans le contrat de cession des actifs est que toute forme de rétrocession (revente totale ou partielle des actifs de cette ancienne EPE) doit être validée par les pouvoirs publics algériens, lesquels disposent du droit de préemption. En effet, le gouvernement algérien a eu déjà à actionner cette procédure dans d’autres circonstances, par exemple, lorsque, en 2013, l’entreprise Michelin Algérie était candidate à une opération de vente. L’homme d’affaires Issaâd Rabrab s’était proposé à acheter ses actifs. Mais le gouvernement a rapidement fait valoir son droit de préemption, et le Fonds national d’investissement (Fni) a été mobilisé pour financer l’opération de rachat par l’État de cette entreprise française.<br /> <br /> <br /> <br /> Pierre-André de Chalendar, Pdg du groupe Saint-Gobain, avait jugé, lors de l’acquisition de l’entreprise publique algérienne en 2011, que cette opération «constitue pour Verallia [filiale de verre de Saint-Gobain] sa première implantation dans le sud du bassin méditerranéen, marché très prometteur pour l’embouteillage des produits alimentaires et des boissons».<br /> <br /> <br /> <br /> Alver Oran emploie près de 500 travailleurs et s’étend sur une superficie de 17 ha. La filiale Verallia de Saint-Gobain à laquelle est rattachée l’unité d’Oran, s’était engagée, lors de la signature de l’acte d’acquisition, à «réaliser des investissements destinés à accroître les capacités de production et améliorer la performance du site, ainsi qu’un plan de formation des salariés».<br /> <br /> <br /> <br /> Le gouvernement tenu à l’écart du processus de revente<br /> <br /> <br /> <br /> À peine quatre ans après cette «euphorie» qui a empreint l’atmosphère du forum d’affaires algéro-français en mai 2011-au cours duquel le principe de la transaction a été arrêté-, Saint-Gobain se déleste d’Alver d’Oran (en même temps que de 12 autres unités à travers le monde) au profit du géant américain Apollo Global Management, un des cinq prétendants à cette opération de rachat dont le montant est estimée à 18,4 milliards de dollars pour l’ensemble de la filiale Verallia.<br /> <br /> <br /> <br /> Le droit de préemption ne s’use que quand on ne s’en sert pas<br /> <br /> <br /> <br /> Cependant, tout cela se produit sans la participation ni la consultation des pouvoirs publics algériens, qui auraient pu user du droit de préemption afin, le cas échéant, de permettre la reprise de l’ancienne entreprise publique par le gouvernement. Même si, éventuellement, ce dernier ne serait pas intéressé par une telle reprise -pour des raisons de conjoncture financière, par exemple,-la conditionnalité contenue dans l’acte de cession (privatisation), qui prévoit d’en référer au gouvernement algérien dans toute opération de cession partielle ou totale des actifs, est censée être respectée. Sa non-exécution s’apparente à une violation de la souveraineté du pays. Et c’est apparemment de cette façon que l’opération de cession d’Alver à Apollo -qui ne sera matérialisée sur les documents officiels qu’en décembre 2015-est ressentie par les autorités algériennes. En effet, le ministère de l’Industrie et des mines vient de saisir par écrit la société Saint-Gobain à Paris pour lui demander des explications sur la procédure en cours avec les Américains d’Apollo.<br /> <br /> <br /> <br /> Néanmoins, une difficulté juridique semble surgir pour faire valoir le droit de préemption de l’État algérien; c’est que le contrat de cession, lors de l’opération de privatisation en 2011, n’a pas eu lieu avec la filiale de verre Verallia, mais avec la filiale italienne Vetri, faisant toujours partie du groupe français Saint-Gobain. D’ailleurs, en acquérant l’unité Alver d’Oran, la filiale italienne a aussi acquis la Société de verrerie de l’Est (Sovest) implantée à Elma Labiodh, dans la wilaya de Tébessa.<br /> <br /> <br /> <br /> Effets retards de la privatisation à «la Temmar»<br /> <br /> <br /> <br /> Le cas de cession des verreries publiques, comme d’autres cas de privatisations opérés dans des conditions pour le moins inappropriées et opaques, ne cessent de produire leurs effets négatifs sur l’ensemble de l’économie nationale. Les experts avaient, par exemple, attiré l’attention des pouvoirs publics sur la modicité du montant de cession d’Alver d’Oran, soit 5 millions d’euros, pour une unité bien dotée en équipements modernes acquis à coups de milliards de dinars et qui s’étend sur une superficie de 17 ha.<br /> <br /> <br /> <br /> De même, la revente, par les nouveaux acquéreurs, de certaines unités issues des privatisations, ne respectent pas toujours les conditions édictées dans le contrat de cession, à commencer par la consultation des pouvoirs publics algériens afin d’user, éventuellement, de leur droit de préemption. À cela se greffe l’écheveau juridique lorsque la filialisation atteint un certain niveau de complexité.<br /> <br /> <br /> <br /> Amar Naït Messaoud
F
kara wlid el himar ibn el himar bla chahada wela diplome dare kraou fi nover da rechewa heta cheba3 3la zawalia eli dakhlou yekhadmou dar chantage elebnet bna soukna fakhira fe chetia bederaham ta3 rechwa wel khedama ta3 nover heta wahed magder yehabtou bessah rabi hak kherdj mine cp eli kane yedarag bih enchallah yezid nanfedhah we takhroudj fih ou fi sahtou wewladou erachwa eli daha wel khedama eli hegarhoum
K
celui qui a reellement ruinéc'est sedjal mohamed pdg du groupe ila tout fait pour que les unités de enava seront cedées avec la complicité des salauds syndicalistes bourouis et kara donc le staff du groupea fait cette sale besogne pour enfin sortir en retraite
enava massacre
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